Satoshi Yagisawa
Editions Hauteville
Satoshi Yagiwasa est né en 1977 dans la préfecture de Chiba, dans la partie est du Japon. Il est diplômé de l’université de Nihon. Son premier roman, La Librairie Morisaki, a été traduit dans plus de vingt langues. Grand contemplatif, Satoshi Yagisawa a un goût prononcé pour les chats, la guitare et le café.
Bienvenue dans le quartier de Jinbôchô à Tokyo. C’est un endroit un peu étrange où la plupart des enseignes sont des librairies. Celle de mon oncle était une vieille bâtisse en bois à deux étages, dont la façade polie par le temps criait « librairie d’occasion ». L’intérieur était étroit, et l’on aurait eu du mal à y faire entrer plus de cinq clients à la fois. J’avais franchi son seuil pour la première fois il y avait trois ans de ça. |
Nous sommes de retour à la librairie Morisaki et nous y retrouvons Takako.
Dès que possible la jeune femme vient y aider son oncle et ainsi cotoyer les habitants de Jinbôchô. son oncle et côtoyer les habitants de Jinbôchô dès qu’elle en a l’occasion.
La librairie est un lieu qui la rassure, c’est un véritable refuge.
Aussi, en guise de remerciement Takako offre à son oncle un séjour dans des sources thermales.
Elle devient alors la responsable des lieux. Nouant une relation avec Wasada, elle l’invite espérant officialiser les choses.
La librairie Morisaki deviendra-t-elle le théâtre de cet amour naissant?
Mon avis :
J’avais lu le premier volume de cette série que j’avais apprécié de part la douceur du texte.
Aussi, j’ai eu envie de me plonger dans ce second volet avec la joie de retrouver tous les personnages : Takako, Satoru, Momoko et bien d’autres.
L’auteur a pris soin de retracer l’histoire afin de nous remettre dans le contexte de l’histoire ce qui a été appréciable pour ma part. Néanmoins passé l’exaltation du début je termine la lecture avec un goût d’inachevé.
Je n’ai pas réussi à m’attacher à l’histoire, malgré des sujets complexes, apportant de la joie et de la tristesse par moment.
Takako l’héroïne m’a paru bien fade face aux personnages de Satoru son oncle et de Momoko sa compagne, car ils m’ont paru plus authentiques et plus attachants.
Malgré tout j’ai lu ce second tome d’une traite, car l’auteur met l’accent sur l’amour des livres, comme dans le premier tome nous découvrons des titres qui me sont inconnus et dont j’ai envie de découvrir.
La part belle est faite aux libraires, aux librairies et aux amoureux des livres.
La librairie Morisaki mais toutes les librairies en générales sont des lieux où l’on rencontre des personnages attachants, parfois loufoques mais qui ont en commun l’amour des livres.
Ce n’est pas un coup de coeur mais cela reste assurément une lecture « doudou » , une lecture simple sans fioriture qui fait du bien en cette période.
Et vous avez-vous lu ce second tome ?
Ma note :
❤️❤️❤️,❤️
3,5 / 5